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7 avril 1987, assassinat du Maître Ali Mecili
16/02/2005 21:39
« Ali Mecili est-il assassiné sur ordre de la présidence de la République ? »
Par Nacer Boudjou
Les assassinats politiques s’alignent tellement, en longs convois humanitaires au secours des sinistrés de par le monde, qu’on finit par les oublier. En plus, ils soufflent vite, tels des ouragans, à peine captés, ainsi que les magouilles politiques qui se paradent. Ce qui fait, on oublie nos moments de douleur et par-là, on a oublié aussi la liquidation des pionniers du processus démocratique et de la liberté de la presse. J’entends par-là l’élimination le 7 avril 1987 de l'avocat Ali Mecili, à Paris dans le hall de son immeuble du boulevard Saint-Michel.
Il y a 17 ans à Paris, il y a eu mort d’homme à l’entrée d’un appartement en plein boulevard Saint-Michel. Un homme qui n’est pas des moindres. Deux mois plus tard, après son élimination physique, ce militant des droits de l’homme, en l’occurrence Maître Ali Mecili, la police judiciaire a arrêté un suspect Abdelmalek Amellou, un proxénète parisien d'origine algérienne, qui avait en sa possession un ordre de mission qui porte la griffe du capitaine Hassani, identifié officier de la Sécurité militaire algérienne (Police politique, ancêtre de la DRS). Déféré devant la justice, le tueur fut expulsé en procédure d'urgence vers l'Algérie, sur ordre de M. Charles Pasqua, ministre de l'Intérieur de l’époque.
« A l'époque j'étais chargé du dossier du Moyen-Orient au cabinet du général Lakhal Ayat, le directeur central de la Sécurité militaire (la DCSM). Je sais que les ordres sont venus de la présidence de la République. Le général Ayat a eu une réunion à la présidence avec Larbi Belkheir, qui était à l'époque directeur de cabinet du président Chadli et qui est aujourd'hui directeur de cabinet du président Bouteflika. Des instructions lui ont alors été données pour monter une opération contre Mecili. » a-t-il déclaré Hichem Aboud, ancien officier des services secrets algériens dans une interview qu’il a accordé au ‘’Le Nouvel Observateur’’ le 14 juin 2001.
Les commanditaires de ce crime ont blâmé Ali Mecili le fait d’avoir en 1985 rapproché Aït Ahmed et Ben Bella, deux figures de la révolution algérienne. Le chef historique Hocine Aït Ahmed venait de reprendre le Front des Forces socialistes, le FFS, et Ben Bella, ex président de la République algérienne avait organisé le MDA, devenu un mouvement d'opposition. Par leur alliance tactique, ces deux leaders constituaient une menace aux yeux de l’oligarchie militaire. Il fallait les paralyser, en étouffant leur projet politique dans l’œuf. Toucher à l'un d'eux, c’est s’attaquer à leur légitimité historique et faire déchaîner les médias et l’opinion internationale. L’astuce pour les intimider était de s’en prendre à l’artisan de leur union.
Ce faisant, puisque aucun officier n’avait accepté cette mission, le capitaine Rachid Hassani doublé de zèle, appartenant à la gendarmerie, avait pris en main l’affaire. On pourrait en savoir plus dans les ouvrages écrits par Hocine Aït Ahmed ‘’L’affaire Mecili’’, et M. Naudy, dans ‘’Un crime d’États’’.
Depuis, l’affaire de l’assassinat s’est tassée et n’a jamais été classée. « En 1992, nous avons frôlé le non-lieu, et je me suis battue pour que le dossier ne soit pas fermé… C’est à la justice de décider. Je ne me vois pas porter plainte, je suis quand même prudente, et cela me semble difficile de partir à l’assaut, comme ça… » a-t-elle dit Mme Anne Mecili, l’épouse du défunt, dans une interview accordée à Algéria Interface le 6 juillet 2001.
Ali Mecili servait le FLN à l’époque du gouvernement provisoire, le GPRA, puis il a dû quitter Alger pour Tunis. On croit savoir qu’il y a reçu son affectation au MALG (Ministère algérien des liaisons générales, l’ancêtre des services secrets algériens). Cette expérience au sein du Malg lui a permis d’assister en fait à la dérive d’un service de renseignement. Quand les services du Malg sont revenus en Algérie, après l’indépendance, il a fini par les quitter.
Puis, par le hasard des circonstances de la vie, il est retourné au sein des «services», mais pour servir cette fois son idéal et le mouvement d’opposition mis en place par Aït Ahmed. A ce moment, il emprunte le sentier du combat pour la justice, la démocratie et les droits de l’homme. Avec Aït Ahmed une dynamique démocratique est inaugurée. « C’était un duo qui fonctionnait de façon très efficace, donc dangereuse pour le pouvoir. » Ali Mecili écrivait dans le journal du FFS, Libre Algérie, que la ‘’sécurité militaire’’ était devenue un «État dans l’État.» Il a pressenti la dérive de ces ‘’escadrons de la mort’’. De surcroît, il avait une connaissance approfondie du système et des hommes.
En 1986, il était le premier à dénoncer la torture, les violations des droits de l’homme en Algérie. Il a été le premier à briser le tabou, à lever le voile sur la question. On connaît la suite de l’escalade de la violence, de la répression engendrées par les pouvoirs des bidasses. Il a lancé un cri entendu «d'un bout à l'autre du pays. Comme si l'onde de choc, provoquée par les tentatives de déstabilisation, de décomposition et la répression en Kabylie, avait aujourd'hui de profonds échos dans les villes et les villages de tout notre pays. La révolte d'un pays tout entier face à un régime qui ne sait répondre que par la terreur et la manipulation, à une revendication simple mais fondamentale : vivre dans la dignité. » souligna-t-il Aït Ahmed au 15ème anniversaire de l’assassinat de Ali Mecili, son compagnon de combat.
Commission Droit Pénal, (commissions rogatoires-fonctionnement-Affaire Mecili) de l’ Assemblée Nationale Française.
Noël Mamère, Député de Gironde du parti des Verts, appelle l'attention de Mme le Garde des sceaux, ministre de la justice, sur à propos de l'affaire Ali Mecili :
Des présomptions nombreuses ont mis en lumière la responsabilité de la sécurité militaire algérienne (SMA) dans l'assassinat de Maître Ali Mecili. Malgré les demandes répétées des avocats de la famille d'Ali Mecili, la commission rogatoire internationale pour interroger ce suspect délivrée seulement en mars 1988, n'a pas été exécutée. Plusieurs années d'instruction judiciaire n'ont pas permis de répondre à toutes les interrogations de la partie civile sur cet assassinat, sur les responsabilités des services algériens et français concernés. Or le dossier n'est pas juridiquement clos et l'instruction est bloquée par l'absence de réponse des autorités algériennes.
Il lui demande ce qu'elle compte faire pour que les autorités françaises relancent la commission rogatoire internationale et invitent les autorités algériennes à y répondre conformément aux règles de l'entraide répressive internationale et aux conventions franco-algériennes en vigueur. Cette démarche contribuera ainsi à faire toute la lumière sur les circonstances de ce crime d'Etat qui entache les relations entre la France et l'Algérie depuis treize ans et a porté un tort considérable à l'image de la France dans le monde.
A la suite de la demande par Noël Mamère de l'établissement de la vérité sur l’assassinat de Ali Mecili, il s’avère que la demande d'entraide adressée en 1988 aux autorités algériennes est demeurée sans réponse mais également que l'instruction de ce dossier se poursuit. Le 4 septembre 1998, le juge d'instruction en charge de cette affaire a dressé une nouvelle commission rogatoire internationale aux autorités judiciaires algériennes. Cependant, à ce jour, aucune pièce d'exécution de cette demande d'entraide n'est parvenue aux autorités françaises. C'est la raison pour laquelle, les 29 octobre 1999 et 23 mai 2000, le ministre de la justice français a demandé aux autorités algériennes de lui faire connaître la nature des obstacles qui s'opposeraient à l'exécution de cette commission rogatoire.
En substance, des demandes d'éclaircissement demeurent tel le silence des cimetières. Cela nous pousse à dire aux décideurs qu’il faut réviser leurs cours de Droit International. Et que leur collaboration avec leurs partenaires mondiaux avec le respect des accords internationaux de coopération judiciaire qui se doit n’est pas du pipeau !
Aït Ahmed n’est pas resté de glace devant ce crime crapuleux, il a saisi toutes les instances internationales. Depuis, il y a eu divorce avec Ben Bella et le MDA (et le comble cet ex président déchu a soutenu le candidat Bouteflika aux présidentielles 2004 ). Une répression violente s’abat sur tous ceux qui veulent vivre dignement. Cet ordre fasciste et obscurantiste révèle au grand jour son vrai visage, il a transformé notre pays en propriété privée, faisant main basse sur ses richesses tant naturelles, énergétique et qu’humaines.
« Ton exécution, comme celle de Abbane Ramdane, Khider, Krim Belkacem , Mohamed Boudiaf, M'barek Mahiou, Lounès Matoub, pour ne citer qu'eux, a été le révélateur de la nature et des pratiques d'un régime qui tue quand il a peur. D'un régime qui a privé le peuple algérien de son droit à l'autodétermination en éradiquant ses libertés d'expression, d'organisation et de participation. Ton assassinat a été prémonitoire de cet octobre 1988 qui généra tant d'espoir mais qui fut aussi un octobre noir, comme l'anniversaire du Printemps 1980 fut un printemps noir. » a-t-il énoncé Aït Ahmed.
Et à nous d’ajouter, sa mort a été annonciatrice de ce que notre pays connaît aujourd'hui sans devoir jamais sortir de cet engrenage tragique : le génocide de la Kabylie en gommant de la vie des 123 martyrs de ‘’Tafsut Imazighen’’ du printemps noir 2001, de blessés, d’exilés, de suicidés et de familles vivant dans un deuil continuel.
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La condition des femmes du Maghreb à la loupe
16/02/2005 21:38
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La manifestation organisée par l'association Amitié euro-berbère à l'occasion de la journée de la Femme a été essentiellement axée sur les femmes du Maghreb. Un grand rendez-vous d'actualité. |
"Dans notre monde, les femmes sont les ennemies des femmes>. Ces paroles prononcées dimanche après-midi par Karima Balkacemi, dans le cadre d'une manifestation relative à la journée des femmes, mettent en exergue le rôle des femmes dans l'éducation de leurs enfants, dans le monde du Maghreb. Cette déclaration faisait suite à l'exposé de Mireille Mekrez, présidente des Femmes solidaires de Longwy, invitée par l'AEB (Association Amitié euro-berbère) de Moyeuvre-Grande. La présidente a rappelé que le rôle que Femmes solidaires s'étaient fixées était de "lutter contre les inégalités et les droits de chacun, hommes, femmes, enfants>.
Elle a précisé: "Une journée internationale des femmes ne doit pas se limiter à un seul jour>. Elle est ensuite entrée dans le vif du sujet fixé par l'AEB, à savoir la rencontre des traditions avec le monde moderne, pour les femmes issues du Maghreb. Et de souligner son expérience. Lors d'un voyage en Algérie avec sa fille. La maman munie d'un passeport algérien (elle a la double nationalité) et la fille d'un passeport français. Au moment du retour, elle a été bloquée, bien qu'ayant tous les papiers en règle. "Il n'était pas question que je puisse faire sortir ma fille d'Algérie. Seul le père y est habilité par la loi algérienne, alors que lui-même était en France>. Et de mettre en accusation le "code de la famille>, en vigueur en Algérie, qui donne toutes les prérogatives au mari, au père ou aux frères. "Les femmes y ont un statut de mineures à vie... elles n'existent pas sans l'aval d'un homme>.
Hommes et femmes, même langage
Pour Dina Harik, également d'origine berbère, et membre de Femmes solidaires de Longwy, "chacun doit pouvoir affirmer son appartenance religieuse, dans le respect réciproque>. Et de souligner qu'avec Famille d'accueil "J'ai élevé beaucoup d'enfants. Je leur ai appris le respect>. Rachid Moukah, président de l'association des berbères de Longwy a fait une déclaration très courte, mais très applaudie: "Je suis père d'une fille et je vous promets qu'elle sera une personne avant d'être une femme>.
Ali Sayad, s'est attaché à préciser qu'au Maghreb, il y avait trois sociétés différentes par rapport aux femmes. Les Touareg, où la société reconnaît un rôle primordial à la femme. Chez les Chaouia, "le statut de jeune fille n'existe pas. Le statut de mère et de belle-mère oui>. Et d'ajouter qu'il existe un statut de femme libre (veuve ou divorcée. Pour Ali Sayad, "La société kabyle est la plus réactionnaire vis-à-vis des femmes. Il n'existe pas de statut de femme>. L'artiste peintre et poète Nacer Boudjou a souligné quant à lui, après voir lu des textes qu'il a écrits: "La femme est l'avenir de l'homme". Et de rappeler que les pays du Maghreb ont connu des civilisations, pour beaucoup créées par des femmes (Carthage...).
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Paru le : 2004-03-09 (Orne / Vallée) |
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La condition des femmes du Maghreb à la loupe
16/02/2005 21:20
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La manifestation organisée par l'association Amitié euro-berbère à l'occasion de la journée de la Femme a été essentiellement axée sur les femmes du Maghreb. Un grand rendez-vous d'actualité. |
"Dans notre monde, les femmes sont les ennemies des femmes>. Ces paroles prononcées dimanche après-midi par Karima Balkacemi, dans le cadre d'une manifestation relative à la journée des femmes, mettent en exergue le rôle des femmes dans l'éducation de leurs enfants, dans le monde du Maghreb. Cette déclaration faisait suite à l'exposé de Mireille Mekrez, présidente des Femmes solidaires de Longwy, invitée par l'AEB (Association Amitié euro-berbère) de Moyeuvre-Grande. La présidente a rappelé que le rôle que Femmes solidaires s'étaient fixées était de "lutter contre les inégalités et les droits de chacun, hommes, femmes, enfants>.
Elle a précisé: "Une journée internationale des femmes ne doit pas se limiter à un seul jour>. Elle est ensuite entrée dans le vif du sujet fixé par l'AEB, à savoir la rencontre des traditions avec le monde moderne, pour les femmes issues du Maghreb. Et de souligner son expérience. Lors d'un voyage en Algérie avec sa fille. La maman munie d'un passeport algérien (elle a la double nationalité) et la fille d'un passeport français. Au moment du retour, elle a été bloquée, bien qu'ayant tous les papiers en règle. "Il n'était pas question que je puisse faire sortir ma fille d'Algérie. Seul le père y est habilité par la loi algérienne, alors que lui-même était en France>. Et de mettre en accusation le "code de la famille>, en vigueur en Algérie, qui donne toutes les prérogatives au mari, au père ou aux frères. "Les femmes y ont un statut de mineures à vie... elles n'existent pas sans l'aval d'un homme>.
Hommes et femmes, même langage
Pour Dina Harik, également d'origine berbère, et membre de Femmes solidaires de Longwy, "chacun doit pouvoir affirmer son appartenance religieuse, dans le respect réciproque>. Et de souligner qu'avec Famille d'accueil "J'ai élevé beaucoup d'enfants. Je leur ai appris le respect>. Rachid Moukah, président de l'association des berbères de Longwy a fait une déclaration très courte, mais très applaudie: "Je suis père d'une fille et je vous promets qu'elle sera une personne avant d'être une femme>.
Ali Sayad, s'est attaché à préciser qu'au Maghreb, il y avait trois sociétés différentes par rapport aux femmes. Les Touareg, où la société reconnaît un rôle primordial à la femme. Chez les Chaouia, "le statut de jeune fille n'existe pas. Le statut de mère et de belle-mère oui>. Et d'ajouter qu'il existe un statut de femme libre (veuve ou divorcée. Pour Ali Sayad, "La société kabyle est la plus réactionnaire vis-à-vis des femmes. Il n'existe pas de statut de femme>. L'artiste peintre et poète Nacer Boudjou a souligné quant à lui, après voir lu des textes qu'il a écrits: "La femme est l'avenir de l'homme". Et de rappeler que les pays du Maghreb ont connu des civilisations, pour beaucoup créées par des femmes (Carthage...).
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Paru le : 2004-03-09 (Orne / Vallée) |
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Nacer Boudjou en dédicace
16/02/2005 21:16
[le Code Javascript est interdit dans les articles VIP Blog]
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Nacer Boudjou à Confluence
16/02/2005 21:08
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Confluence: rentrée franco-belge sur France 3 |
La vie sur les frontières a beau être banale pour des milliers d'individus, il manquait sans doute une émission de télé qui se rapproche de ce vécu ou explore cette réalité pour un public "de l'intérieur des terres". Depuis Confluence, cette émission existe. Christelle Collin, journaliste à la télévision de proximité du Luxembourg belge, TV Lux, en a eu l'idée.
Et elle a trouvé un écho généreux auprès de France 3 Lorraine Champagne-Ardenne, le tout étant soutenu par les fonds européens Interreg III Wallonie-Lorraine-Luxembourg. Bémol à ce niveau: RTL, qui avait été séduit par le projet, a décroché à quinze jours de l'attribution du feu vert européen. Pas une bonne pioche. D'abord parce que le public suit. Le directeur d'antenne de France 3 L-C-A, Gilles Machu, est catégorique: "Nos retours sont très bons. Les téléspectateurs nous écrivent, le bouche à oreille est bon en interne. Et surtout, la diffusion le samedi dans les programmes régionaux nous offre une belle audience. Nous faisons quelque 26 % de parts de marché>. L'audimat parle de lui-même. Or l'audience potentielle est de quelque 6,5 millions de téléspectateurs ! 250 000 habitants en province de Luxembourg belge. 4,5 millions sur la zone Lorraine et Champagne-Ardenne. Plus les zones couvertes par France 3, en Wallonie (Namur et Liège ont cette régionale sur le câble) et au Grand-Duché de Luxembourg.
Après un ballon d'essai de quelques émissions printanières et une pause estivale, Confluence fait sa rentrée, toujours au rythme mensuel. En plateau, pour 26 minutes de magazine aux regards croisés, les deux journalistes, Christelle Collin la Belge et Valérie Odile la Française, encadrent l'animatrice Virginie Schanté. "On montre, en version franco-belge, ce qui nous ressemble, ce qui nous rassemble, ce qui rend différent aussi", résume le directeur de TV Lux, Luc Malcourant.
Les sujets du retour à l'antenne? Les courses sans frontières (supermarchés et commerces du dimanche par exemple), le Musée en plein air de la Vie rurale à Saint-Hubert, la mirabelle. Et l'écrivain Guy Goffette, en invité décapant. A noter que le 30 octobre, on évoquera Amnéville, le Pôle européen de Développement, le pâté gaumais et le château de Malbrouck, avec l'artiste-correspondant de presse de Longlaville, Nacer Boudjou. Nouveauté de cette rentrée, un site internet sur l'émission, ses coulisses et ceux qui la font, se trouvera sur http://www. confluence.tv; www.confluence.tv.
Quant au rendez-vous télé, c'est un samedi par mois (le 30 octobre pour démarrer) à 16 h 20 sur France 3.
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Paru le : 2004-10-05 00:00:00 (Longwy / Actualité) | |
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