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« Venise : images de la ville et anciens rapports avec Alger »
23/02/2005 13:22
Par Nacer Boudjou
C’est avec l’esprit de retrouver ces fils qui ont lié l’Italie et l’Algérie dans le passé que l’initiative de cette exposition a été entreprise. Il est du devoir de chaque partie de tisser un nouveau rapport d’amitié et de collaboration culturel et économique. Le programme de l’Institut central italien à Alger, en étroite collaboration avec l’ambassade, initiait un développement homogène et une convergence de buts.
L’exposition ainsi organisée par l’Institut de Culture et de la Communication avec l’assessorat à la Culture de la Mairie de Venise et avec ses archives, présente une richesse inestimable de documents historiques. Plusieurs reproductions d’anciennes gravures reproduisent des monuments vénitiens, des correspondances, des traités, des factures, des registres commerciaux, attestations du droit d’accostage, de transit… et même des listes de cadeaux demandés par Ahmed Dey d’Alger à la république de Venise.
Le public, essentiellement composé d’invités officiels (corps accrédité), de chercheurs, historiens, le personnel du monde de la culture et des arts, ont investi les lieux. Les accessoires et la galerie du Palais du peuple ont eu le privilège d’accueillir les archives iconographiques qui sont un pan de notre histoire s’étalant du Xème au XVIIIème siècle.
Cette exposition veut assurer le témoignage des liens historiques entre les Algériens, et les Italiens, par la mise à la disposition du public d’un pamphlet « Présence arabo-islamique à Venise et présence vénitienne à Alger ». Ainsi ; l’existence d’un « Campo dei mori » (place des maures), les deux maures en bronze qui battent les heures sur la tour de l’horloge qui donne sur la place Saint-Marc, une zone appelée « Barbaria de le tole » (Barbarie des tables). Cette dénomination rappelle que ce sont les menuisiers africains ou barbaresques, soit leurs bois précieux qu’ils travaillaient en cette ville, côte à côte avec les Vénitiens, dénote une présence plus que certaine d’une composante de marchands, de voyageurs, d’artisans des « Terres de Barbaries » comme généralement étaient appelées les terres du contient africain (Libye, Tunisie, Algérie, Maroc). Comme disait Ugo Bergamo, maire de Venise la radieuse : « Cette ville a la capacité… plus que d’assimiler, d’attirer et d’accueillir les apports les plus divers, pour les faire ensuite fructifier et mariner dans son milieu, tout en gardant intacte l’originalité individualité ». Effectivement, toutes les communautés étrangères se sont intégrées parfaitement dans la vie urbaine.
Les différentes photos nous révèlent également plusieurs édifices religieux ou de palais dont la conception architecturale ou ornementale ressemblerait à celle des maures ou orientaux, exemple : La basilique de Saint-Marc, la cathédrale de Saint-Pierre de Castello, le Palais des doges avec l’entrepôt en arcades. Il semble que tout a commencé bien avant l’an mille, le Maghreb a représenté pour les Vénitiens un marché florissant pour l’importation et l’exportation de marchandises. Un convoi de bateaux « Muda di Barbaria », ainsi nommé, levait l’ancre à chaque printemps dans les ports de Bougie, Bône, Oran et Alger. Des amandes, de la cire, du raisin sec, la cochenille, coton, l’huile, cumin, anis, noix de galle, laine, peaux, cuir, tapis, dattes, défenses d’éléphant, sont chargés pour la destination de la « Sérénissime Venise ». Des lagunes de Venise, on transportait vers les ports barbaresques ou africains des épices, du bois, fourrures, étoffes de tout genre, objets en fer ou en cuivre et ceux d’orfèvrerie, perles, rubis, turquoises.
Et puis tout d’un coup, tout est stoppé à cause de la crise politique. Ce n’est que vers le XVIIIème siècle que la « Sérénissime Venise » a manifesté de reprendre les relations diplomatiques avec les « Cantons barbareschi » pays berbères. En 1763, son représentant Gaestano Gervasone signa avec le dey d’Alger un traité dans lequel, en échange d’un don annuel ; les marchands vénitiens obtenaient des privilèges spéciaux. La paix fut ensuite renouvelée en 1768.
Tous les documents diplomatiques, protocolaires ont fixé toutes ces démarches en langue italienne – en osmanli ou en arabe. En 1866 la république de Venise se confond avec l’Etat d’Italie et son rôle est devenu mineur car les grandes décisions viennent de la direction centrale du pays. Pour Ugo Bergamo, l’actuel maire de Venise espère dans « il s’agit donc d’un immense patrimoine, d’un héritage culturel de paix, de grande ouverture, de coopération plus que jamais présente et qui constitue la base d’un projet dont il faut tenir compte absolument et auquel nous travaillons ». Puisque l’histoire du destin des peuples méditerranéens est ainsi vue, d’autres expériences peuvent voir le jour. Et l’exposition est plus que profitable.
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Atahualpa Yupanqui : « Piedra Sola »
23/02/2005 12:33
Par Nacer Boudjou
Dans les années 70, les années dites « folles » entendons-nous bien, il y a de cela trois décennies et des poussières, les boutiquaires des disquaires étaient traversées de mélodies, d’aires venant des quatre points cardinaux, soufflés par des vents souvent printaniers. Ces mélodies emplissent l’atmosphère d’une poésie très raffinée qui nous fait rêver et parfois nous secouer pour être vigilants.
A cette époque, on a connu une pléiade de virtuoses tels : Alan Sylvestre, cheikh Imam l’Egyptien, John Baez qui ne passe pas inaperçue et s’accorde avec le mouvement pacifiste américain né du refus de faire la guerre au Vietnam, Léo Ferré chantant les vers du poète Aragon, l’incontestable Jacques Brel, Idir le miraculé du renouveau de la chanson berbère et Yupanqui avec sa voix envoûtante qui nous vient de loin. Duermo negrito et Trabajo, quiero trabajo de ce dernier sont des chansons que j’ai tout de suite aimées. Un mystère revêt la personnalité de ce chansonnier argentin. A commencer par son surnom Atahualpa Yupanqui, toujours difficile à retenir et qui est tiré des deux héros indiens qui ont mené des combats contre la conquête espagnole de l’an 1516. Ces autochtones ont été exterminés par des mousquets et les épidémies apportées dans les bagages de ces conquistadors et qui attirés par l’or des royaumes Incas et aztèques avançaient sans aucune hésitation.
Yupanqui se détache nettement de ses confrères musiciens et poètes par son genre unique, sa voix chaude, son accent teinté de spirantes et d’exclusives. Un véritable cours de linguistique enrichi d’un vocabulaire rudimentaire s’offre à nous. Tour traduit avec facilité les complaintes de ces Indiens de la Pampa et de la Cordillère des Andes pour qui la bravoure et la fermeté sont des valeurs préservées par eux. Il est venu au monde, un monde « tissé de chants et de silence » comme il le dit un certain 31 janvier de l’année 1908, dans le village d’El Campo de la Cruz, au nord de Buenos Aires, au cœur de la Pampa. Son père est un Indien Quechua et sa mère Basque espagnole, deux personnes représentant deux peuples à la croisée des chemins et qui s’entrecroisent pour former une symbiose. Le jeune Hector Roberto Chavero, nom de son baptême, extrait le suc de ce métissage ethnique et culturel pour en faire une œuvre d’art de plus haut degré. Son père cheminot se déplaçait souvent pour surveiller les travaux ferroviaires avec sa famille. Le jeune Hector ou Yupanqui se mêlait aux ouvriers lorsqu’il va voir son père. Dès l’âge de 6 ans, il est initié au violon par un prêtre. Puis s’essaya à la guitare, cet instrument qu’il adopta et qu’il ne quitta point jusqu’au jour de son agonie survenue le 23 mai 1992 à Nîmes pendant qu’il participait au festival organisé dans cette même ville.
En 1921, au moment de la disparition de son père, il exerça différents métiers entre autres celui de clerc de notaire. « J’avais, explique-t-il, une belle calligraphie » et même en tant que journaliste dans la capitale de l’Argentine. Un hasard lui avait fait connaître l’ethnologue Alfred Métraux, qu’il accompagna en Bolivie puis au Pérou et devient son guide. Cette rencontre lui donna l’occasion d’apprécier les travailleurs exploités dans les mines de soufre et ceux des propriétés agricoles. Cela lui ouvrit tous les horizons et ainsi que sa personnalité qui se confirma davantage par une prise de conscience totale. Le voyage entrepris à pied ou à cheval se termina en 1935 par son adhésion au Parti communiste argentin. Son engagement dans cette formation politique s’illustre par sept recueils de poésie, élaboré entre 1940 et 1971. Cerro Baoy écrit en 1943, sert d’argument à Horizons de Pierre, un film dont il joue le rôle principal. En 1940, il publie son premier recueil de poèmes Piedra Sola (Pierre solitaire) et fait connaître des compositions musicales. Le premier recueil de poèmes est une création qui seule résume la profondeur de l’âme Inca, vestige d’une histoire cauchemardesque vécue dans la douleur et l’angoisse. Il devient le porte-parole attiré de ce peuple que l’auteur de l’une des civilisations les plus prolifiques nommées « L’empire des quatre vents » et qui comprend le Pérou, la Bolivie, l’Equateur et l’Argentine du nord. Le propos suivant exprime l’idée qu’il a de ce peuple réduit à une inexistence : « Tout ce que les indiens sentent mais ne peuvent ou ne savent pas dire, je le dis à leur place » ; Il a plusieurs cordes à son arc ; il chantera la douleur, l’infinie tristesse de cette civilisation jetée dans l’abîme, endeuillée à tout jamais par ces hordes barbues, tels des centaures brandissant les bâtons qui crachent me feu.
En 1948, il s’embarqua à Paris où il rencontra Picasso, Eluard, Aragon et Piaf qui l’invita à se produire à côté d’elle. Depuis il n’a cessé de donner des concerts en Europe, plus de soixante. Son répertoire s’enrichit de plusieurs chansons marquées de mélancolie, d’affection, comme : Camino del indio, Nostalgia Tucumana, Aires Indios, Soy libre, soy bueno (Je suis libre, je suis bon)… Il leur a adapté plusieurs airs : milongas, zambas (danse amoureuse), vidalas (Médiative), babuclas chacaceras (mondes paysannes) qui servent d’un support agréable à sa profonde poésie. Cette démarche lui permet de rendre ses lettres de noblesse à ces genres musicaux relégués à des rangs inférieurs, considérés comme de vulgaires folklores par les tenants de la culture urbaine bourgeoise et institutionnelle. Il a amorcé un renouveau de la musique traditionnelle latino-américaine et qui a traversé ses frontières. Plusieurs groupes de musique et de guitaristes solos qui adopté son mode d’exécution : « les Guacharacos, Calcharkis, Una Ramos, Victor Jara, Paco Ibanez, Julio Jerez, Raphaël Alberti », la liste est longue et on ne peut les citer tous.
Il est chanteur contestataire jusqu’au bout de ses ongles, mais rien à avoir avec les cha-cha-cha à la gloire des coopératives agricoles ou industrielles. L’homme est poète, tout lui suffit largement pour trouver des inspirations. Et la dictature militaire (1943-1946), ni plus tard le président Péron, n’y seront sensibles, encore loin s’ils se doutent de sa guerre menée à l’usure contre la nomenklatura en place qui se maintient sous la température ambiante sub-tropicale. Son entêtement ou sa persistance lui valut plusieurs incarcérations. Ses poignets brisés à coups de culasse de fusil et les mains écrasées par les machines à écrire des forces de sécurité ne l’ont pas empêché de jouer et d’exprimer haut l’injustice.
Sa tournée au Japon en 1974 qui est un succès total le poussa davantage à se produire de plus en plus devant un public qui apprécie la qualité de ses chansons. En 1981, il participe au festival national de folklore (Cosqun argentin) où sera marqué dix ans plus tard un théâtre portant son nom. Il est à retenir également qu’il a eu en 1950 et 1969 le prix de l’Académie Charles Cros. C’est un artiste qui a légué au patrimoine culturel universel entre 700 à 800 chanson écrites seul ou avec d’autres partenaires, dont sa femme qui est une Française et qui joue du piano et signait les textes de poésie sous le pseudonyme Pablo Cerre. Le dernier roi inca meurt à la veille de la commémoration du 500e anniversaire de la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb. Mais la mort n’y peut rien devant ses mélodies qui continuent à nous envoûter et à immortaliser l’âme quechua.
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« Isabella l’Italienne » de Rossini à Alger
22/02/2005 23:18
C’est avec cette introduction de Djawad Fasla « l’Algérie ne reste pas insensible devant cet événement musical » qui le bicentenaire de Rossini de Pesaro (1792-1868) a été célébré au palais de la culture de Kouba – les Anassers, samedi 17 octobre 1992 à 20h par le groupe des solistes de l’orchestre Rossini de Pesaro (formé en 1990)
Par Nacer Boudjou
L’amphithéâtre a du mal à contenir tous les spectateurs venus nombreux assister à cet événement, composé essentiellement du corps diplomatique accrédité à Alger, des membres des institutions gouvernementales, du monde des arts et de la culture, et de mélomanes confirmés.
C’est devant ce parterre tiré à quatre épingles que le quatuor du concert formé d’un flûtiste, clarinettiste, choriste et bassoniste que le programme est entamé. Tour à tour, des sonates sont exécutées avec sensibilité et adresse : Sonata à quattro n°1 infa maggiore (allegra moderato / andante / allegretto), Sonata à quattro n°4 in si bemolle maggiore (allegro vivace / andante / allegretto), et la cenerentola, thème avec variation in fa maggiore (andante / allegretto con variazioni). Toutes les ouvertures musicales sont inaugurées par les talentueux flûtiste qui, par son hardiesse mène le jeu mélodieux, rallié par le choriste, le clarinettiste et équilibré harmonieusement par le bassoniste. Tout le monde présent dans cet édifice culturel est embarqué dans ce « bateau ivre » de Rimbaud. Cette galère musicale vénitienne du XVème - XVIème siècle vogue au gré des sons cristallins des instruments à bois.
Les musiciens sont les maîtres de ces lieux. Ils ont conquis la fibre sensible de l’âme des mélomanes assagis par tant de bonheur. Ces maîtres de ces partitions jouées, sont vêtus de pantalons, houppelandes et chaussures noir brillant, assorties, agrémentées de papillons également blancs. Tels des anges blanchis par la pureté de leur âme et de leur muse, ils exécutent des gestes gracieux qui arrachent des notes légères de leurs bois. A chaque morceau musical, les spectateurs les remercient par le crépitement de leurs mains qui amplifie le volume de l’amphithéâtre. Rossini est là présent par sa création artistique, il a une carrière très laborieuse qui l’a amené à concevoir les premières parodies jouées à Venise en 1810-12 et Gugliolmo Tell qu’il présenta à Paris en 1829. Il a eu l’honneur d’instaurer le modèle du mélodrame italien en fondant le grand opéra parisien. Toute la génération de Bellini, de Donizzeti, de Mercadante, de Verdi a été fortement imprégnée par son génie qui dépassa les frontières de la botte italienne. On dit que Paris vie au rythme rossinien, mais même le monde germanique caractérisé par les musiciens romantiques : Waber et Schubert et les maîtres des opéras : Auber, Offenbach est influencé par son style. Une telle influence si étendue et universelle, a correspondu à une parfaite unité de la langage, conclu et autonome dans son application, à la dramaturgie comique et tragique. L’Italiana in Algéri est l’œuvre la plus attendue du public, drame joyeux qui a été joué pour la première fois le 22 mai 1813 dans le théâtre Saint Benoît de Venise. Cette œuvre a connu un retentissant succès par son allégresse et son thème inspiré d’une histoire d’amour au temps des deys à Alger. Une certaine Isabella la Vénitienne qui part à la recherche de son fiancé marin, emprisonné à Alger. Le dey Mustapha l’intercepta et la courtisa. La belle histoire s’acheva admirablement bien parce que Isabella a réussi à faire sortir son bien-aimé des geôles barbaresques et à s’embarquer avec lui pour Venise. Rossini a su exploiter ce drame en procédant à une abstraction dans une forme de virtuosité lyrique en incluant des effets baroques.
Le quatuor séduit par la réceptive musicale du public a joué exceptionnellement « Il barbariere di Sivglia, barbier de Séville », œuvre conçue en 1816, qui n’était pas au programme de la soirée. Les spectateurs étaient aux nues, admis dans un cosmos fait de notes envoûtantes. C’était un chef-d’œuvre, avec l’insistance du public, les solistes l’ont joué une seconde fois. Devant ce spectacle musical guidé par une baguette des maestros italiens, la salle a su ressusciter le génie de Rossini de Pesaro. Ainsi ; les génies ne meurent pas, survivent au tumulte de la vie quotidienne qui froisse les citoyens qui n’ont rien compris encore au sens du « métier de vivre ».
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Le club de boxe de Mont Saint Martin
22/02/2005 22:51
D’ores et déjà le Club de boxe de Mont Saint Martin créé en novembre 2001, a inscrit une série de combats, dont deux ont révélé Hamlaoui Youssef et Sidhoum Malik champions d’Alsace-Lorraine.
Par Nacer Boudjou
Sidhoum Malik distingué champion d’Alsace-Lorraine, va plus loin dans son challenge, il a été finaliste des champions de France. Le club dispose actuellement de 15 boxeurs très actifs.
Fort du succès de son club et de son cheminement exemplaire, en tant que président, M. Robert Giovanardi, a exprimé sa satisfaction lors de l’assemblée générale-bilan qui a lieu à la Maison de Quartier du Val de Saint martin « Je suis ravi qu’on lie dans une synergie dynamique le sport et la littérature dans la Maison du Quartier du Val de Saint Martin. La preuve c’est que la jeunesse bien intégrée dans les disciplines qui leur conviennent fait des miracles dans des compétitions sportives, en l’occurrence la boxe. »
Devant une assistance nombreuse composée des élus du conseil communal Mme Brigidi-Godey Jacqueline, Jean-Claude Blanguerin, de Locus Gérad, Stany Carbone, responsables de la fédération de boxe au niveau départementale et régionale, de Jean-Pierre Vigier, directeur de la Maison de Quartier, ainsi que des membres du club, Giovarnadi nous apprend aussi que 4 boxeurs d’un haut niveau de technicité sportive ont rejoint le club du Val de Saint Martin.
Récemment le club s’est installé dans un nouveau local à l’Espace Loisirs du Val, que la Municipalité leur a attribué. Totalement rénové et équipé d’un ring d’entraînement, le local est le joyau des jeunes boxeurs.
Activités annexes
Le 18 mai 2002, le club a animé un gala de boxe à Mont Saint Martin dans la salle des sports gracieusement prêtée par la mairie. A cette rencontre sportive deux professionnels de la boxe se sont affronté Nascimento Monteiro et Haddjouj Malik.
Outre les combats de boxe, le club a participé au Télé thon 2001et 2002 aux Terres de Mercy (Plateau) de même qu’à la fête du quartier.
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Le 11 décembre 2002, Elections prud’homales
22/02/2005 22:46
Les candidats de la CFDT se mobilisent
Par Nacer Boudjou
Selon M. Philippe Faveaux, secrétaire général de l’Union Départementale de Meurthe-et-Moselle « Des potentialités évidentes assurent que les candidats de la CDT gagneront aux Elections prud’homales de 2002. Ce scrutin national permet de mesurer le poids de chaque organisation syndicale. Il est essentiel que tous nos adhérents s’impliquent dans cette campagne. Ils sont la pierre angulaire de notre stratégie. De surcroît ils sont nos meilleurs vecteurs de notre communication. Le contact avec les salariés est primordial pour montrer une organisation CFDT qui agit au quotidien. C’est l’occasion de rappeler les actions, notamment en faveur de l’emploi et de la réduction des inégalités, qui sont conduites par les équipes CFDT dans les entreprises. C’est cette action au plus proche des préoccupations des salariés qui est le meilleur garant de notre succès.» A-t-il commenté lors de son intervention le représentant de la CFDT au niveau départemental.
A en juger de prés, tout revient aux militants candidats pour sortir vainqueur de la course prud’homale. Il s’agit de s’impliquer, de convaincre et d’amener le plus d’électeurs possibles à se rendre aux urnes. Ceci dit, la CFDT s’érige en tant que force d’écoute de proximité par la mobilité de ses adhérents. Elle s’est mise en branle en organisant une série de réunions publiques sur le territoire meurthe et mosellan. Ses adhérents expliquent la fonction de l’institution prud’homale, ses prérogatives, sa mission, son utilité sociale et la nécessité pour que tous les salariés aillent voter le 11 décembre 2002.
Profil des candidats
La CFDT aligne 18 listes de candidats pour les élections des 4 Conseils de prud’hommes de Meurthe-et-Moselle ( Longwy, Briey, Lunéville et Nancy). A Longwy, il y a 34 candidats dont 4 têtes de liste par secteur: Mme Barbara Giagnorio à l’industrie, Richard Maniara au commerce, Dominique Mathis aux activités diverses et Mme Carole Oudot-Didier à l’encadrement. La moyenne d’âge des candidats vacille entre 24 et 64 ans. Le plus jeune candidat de Longwy est Richard Bertrand dans la section Activités Diverses de l’Association Jeunes Turbulences. Longwy accuse une Mention spéciale pour ses listes CFDT les « féminisées » à 44 % sur l’ensemble des sections, et les plus « jeunes » avec une moyenne d’âge de 43 ans, qui baisse jusqu’à 39 ans pour les têtes de listes.
Toutes les modalités et les dispositions pour se rendre aux urnes sont consignées dans un bulletin « page spéciale Prud’hommes 2002-Trait d’Union CFDT ».
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