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Parole retrouvée

VIP-Blog de nboudjou
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  • Créé le : 15/02/2005 11:34
    Modifié : 17/03/2008 17:26

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    Concert de percussions à la Salle de Léo Ferré

    22/02/2005 22:43



    Les spectateurs venus un après midi de dimanche, ont suivi avec grâce toutes les deux parties du concert de percussions à la salle Léo Ferré (Longwy).

     

    Par Nacer Boudjou

     

    En première partie, l’Ensemble de Longwy-Heumont et Jarny sous la direction de Joël Bly s’est distingué haut la main par la jeunesse de ses percussionnistes et la qualité des morceaux interprétés. Tout d’abord  ils ont ouvert le concert par « Carmen de Bizet » puis Boogie down, Ragtime, New-Funk. Le morceau joué avec des briquets qu’ils allument et qu’ils éteignent, intitulé « Vous avez du feu ? » est particulièrement innovateur.

    Puis, au tour de l’Ensemble de Sarreguemines sous la direction de Bruno Marin. Lequel s’est  passé des instruments de percussions conventionnels. Ses musiciens ont  utilisé des chaises, des ballons et le corps humain dans une sorte de polyphonie. Ils ont interprété entre autre Tête à Clap, Peaux Rouges de Philippe Spiesser, Afro- Amero de Phil Faini.

    Quant à l’Ensemble d’Esch/Alzette sous la direction de Laurent Clément et de Serge Kettenmeyer a joué de tous les instruments à percussion : bangos, xylophone, djembé, toumbas… pour exécuter Voyage en France de E. Séjourne, Clash Music, A la Samba. 

    Dans un ensemble féerique toutes les formations ont joué des Variations sur un thème japonais de Patrice Legeay.






    Cérémonie de la remise des diplômes

    22/02/2005 22:39



    Il y a grand monde à la céremonie de la remise des diplômes aux élèves du lycée d’Alfred Mézières.

     

    Par Nacer Boudjou

     

    L’originalité de la cérémonie tient à son organisation en invitant les entreprises partenaires du lycée : celles qui participent à la formation des étudiants en mettent en place des stages, celles qui versent à l’établissement de la taxe d’apprentissage, la Chambre de Commerce et de l’Industrie, AVENIR industrie, la DRIPE, le Rotary Club, l’ANPE, les inspecteurs des disciplines technologiques, le délégué aux enseignements techniques, le député-maire, le vice-président du conseil régional, l’encadrement du lycée, les parents des lauréats et les étudiants, élèves.

    Il est à noter que les étudiants et les élèves ont pris une grande part à la préparation et au déroulement de la cérémonie, en particulier pour l’accueil.Au cours de cette réception, les diplômes ont été remis aux élèves de STS étude et réalisation d’outillage, STS microtechnique, STS maintenance, STS commerce international, aux baccalauréats professionnels par J-P Durieux, Edouard Jacques, André Ferrari, M. Nani et  Bernard Labbe. « Reconnaissance d’un travail commun nous ne sommes jamais aussi bons que lorsqu’on travaille en commun » A-t-elle ajusté Mm Chaussec, proviseur du lycée à la promotion 2002 de ses élèves. Et d’ajouter « Le lycée est une grande maison dont la taille est un atout car, la diversité des enseignements qu’il propose permet la réversibilité des enseignements et d’être au service de la réussite de chacun de nos élèves, la présence de filières intégrées du BEP au BTS est source d’émulation pour les plus jeunes. »

     

    ‘’Jeunes et Industrie’’ Guide des méthodes de mise en relation

    Au cours de l’année scolaire 2000-2001, la Direction Générale de l'Industrie, des Technologies de l'information et des Postes a lancé un Appel à Projets "Jeunes dans l'industrie" sur le thème de l'attractivité des métiers industriels. Les projets remis et des actions réalisées sur ce sujet en région par divers organismes, dont celui du lycée Alfred Mézières ont donné lieu à la réalisation d’un guide pratique des méthodes de mise en relation entre les Jeunes et l'Industrie. Il concerne l'attractivité des métiers de l'industrie. Un document pratique destiné essentiellement aux chefs d'entreprises, aux responsables de syndicats professionnels, aux responsables d'associations de formation et emploi, notamment aux directeurs d'établissements scolaires. Il vise à faciliter les initiatives et la réalisation d'actions de découverte réciproque entre les jeunes et les professionnels de l'industrie. Ceci permet de mieux connaître, expliquer et comprendre la diversité et le contenu des métiers exercés dans les entreprises industrielles et de service à l'industrie.

     

     






    « La déesse Lare » en scène à la salle Léo Ferré

    22/02/2005 22:31



     Un combat intense entre Gynn et Mattaa

     

    Par Nacer Boudjou

     

    Le doigté revient à la Compagnie ‘’Les Crieurs de Nuit’’ née, il y a plus d’une dizaine d’année sous la houlette de Christian Magnani. Elle a su mettre en scène « La déesse Lare », une pièce inachevée qu’avait écrite Andrée Chédid dans le contexte de revendication de Mai 68.

     

    Cette Troupe théâtrale de Nancy qui n’est pas à ses premiers balbutiements est composée de comédiens talentueux tels Olivier Piechaczyk, Véronique Mangeot, Etienne Guillot, Guylaine Droullé.

    Elle s’inscrit dans un registre théâtral à la fois minimaliste et moderne, aux couleurs grecques.

    Le dramaturge a mis en relief Mattaa (la Déesse Lare), la toute puissante incarnation Gynn, interprété par Guylaine Droullé, femme de passage et d'aujourd'hui. Laquelle tentera de sortir de l'ornière dans un long combat (entre Gynn et Mattaa), l'une voulant s'échapper, l'autre la retenir. A ses côtés, Mann, troublé, ne sait s'il doit tendre ou retirer la main à cette femme inconnue encore à naître, dont il appréhende malgré tout, la venue.

    C’est une dernière création de la compagnie " Les Crieurs de Nuit ". Jeune compagnie régionale, elle bénéficie du soutien d'Andrée Chédid  poétesse et écrivain née en 1920 au Caire de parents libanais.

    Ni l’investissement de l’espace scénique, le jeu des dialogues, et ni la gestualité réduite au minimum n’ont manqué aux comédiens de la Compagnie.

    « C’est pour rendre hommage à Andrée Chédid, poétesse, lauréate du Goncourt de la poésie que nous avions adapté le texte. Lequel est d’une grande intensité dramaturgique. Il recèle une description poétique du monde sans complaisance avec une note d’espoir » A-t-il souligné Christian Magnani, metteur en scène.

    Effectivement, elle est l'un des rares auteurs contemporains à s'être essayer et accomplie dans des genres littéraires aussi divers que la nouvelle, la poésie, le roman, le théâtre.

    Pour mémoire, certains de ces écrits ont été adaptés au cinéma notamment « Le sixième jour » par le cinéaste égyptien Youssef Chahine.

    « Je reste très lucide quant aux drames qui m'entourent, la guerre, la maladie, la famine, l'injustice. Mais je pense que la solution est en nous. Ecrire pour moi c'est aussi un moyen de me dépasser, d'évoluer et de maintenir ce lien parfois complexe entre les cultures de l'Orient et de l'Occident.» A-t-elle souligné Andrée Chédid dans une interview.

    Son oeuvre demeure. Un questionnement ardent sur la condition humaine, les liens qui tisse l'individu au monde. Souvent portée par une ferveur mystique, son écriture est d'une grande sensualité pour évoquer l'Orient et ses parfums

    Vivant en France, pays d’adoption, son écriture se déploie résolument hors de soi pour atteindre au fondement des choses et de l’être.

    Le public nombreux a suivi déroulement de la pièce comme un conte qui se dénoue, avec des moments forts, tragiques. Capté par l’intrigue, le questionnement, le souffle fort de chaque comédien, aucun n’a échappé à la fascination du spectacle.

    Quoi qu’on dise des accointances hellénisantes, des touches pharaoniques, allusions aux momies transparaissent dans l’allure de la déesse et de son costume. Aussi, la ligne architecturale du décor nous emmène à un lieu de mémoire ‘’Le Théâtre de Baalbek’’.

    Bravo ! Le coup du maître est joué dans une synthèse culturelle conséquente.

     

     

     

     

     

     

     

     






    Musée des émaux de Longwy

    22/02/2005 22:26



    Exposition de 700 objets ’’Assiettes’’

    Une collection unique, de 1798 à 1960

     

    Par Nacer Boudjou

     

    « Treize ans de recherche m’ont fallu pour constituer une telle collection. Fils d’une faïencière, c’est l’amour et la passion pour les émaux et le travail de la faïencerie qui m’ont stimulé. Cela représente 164 ans d’activité dans les ateliers de Longwy. J’avoue que pour rassembler la totalité des pièces longoviciennes, éparpillées partout en France et à l’étranger, il faut un siècle. » A-t-il dit André Lukaszewski à l’inauguration de l’exposition  de ses objets ‘’assiettes’’ au Musée des émaux de Longwy. En plus de sa collection, André assure la direction éditoriale de trois ouvrages sur les émaux, dont un « pour rendre hommage à ma mère » a-t-il avoué.

    Une exposition riche, colorée, agencée selon deux périodes historiques : 1798 à 1913  et de 1913 à 1960. Soit, 400 pièces.

     

    André Lukaszewski est talonné par Mme Monique Hascoet, qui partage l’espace d’exposition par ses 300 pièces rares. D’une beauté et d’une finesse sans conteste.

    Les divers types d’assiettes emplissent les présentoirs du Musée des émaux de Longwy: Assiettes à asperges, à fruits, à gâteaux…décorées soigneusement ou rehaussées d’éléments floraux et d’espèces de la faune locale : oiseaux,  papillons… Elles retiennent l’attention des visiteurs par leurs éclats et l’harmonie. Un ravissement pour les yeux !

    D’autres sont personnalisées par des thèmes variés : scène de chasse, des troubadours, des chevaliers. Une véritable encyclopédie de la faune et de la flore de Lorraine.

    Présents à l’exposition, les conseillers de la municipalité de Longwy, Jean-Jacques Fournel, adjoint-maire, Christian Aries, conseiller régional, les hommes de culture, les Longoviciens ont salué chaleureusement les exposants.  «  Ils nous font l’amitié de nous présenter la création des émailleurs, faïenciers, artistes du Pays haut. » a-t-il souligné, M. Jean-Jacques Durieux, premier magistrat de la municipalité de Longwy.






    Le couple Paul et Lucienne Erpelding

    22/02/2005 22:20



    Par Nacer Boudjou

     

    Le couple Paul et Lucienne Erpelding

    a soufflé ses 63 bougies de mariage

     

    « Unis pour le bon, pour le pire, en tout et pour tout, jusqu’à la mort »

     

     C’est dans une sérénité totale et une tendresse particulière du personnel, des pensionnaires  de la Maison de Retraite  de Longwy et des amis proches, que le couple Paul et Lucienne Erpelding a fêté son  63éme année de mariage.

    Une pyramide de gâteaux, décorée de bougie, de guirlandes, de fleurs étaient au rendez-vous. Chef d’œuvre par excellence du chef !

    Paul et Lucienne s’étaient mariés plus exactement le 10 février 1940 à Haucourt-Moulaine « par un froid glacial de –20  degrés. Nous nous sommes fréquentés pendant 4 ans, avant de nous marier. C’était la guerre, j’avais eu une permission exceptionnelle de 11 jours. Quand nous sommes sortis, sur les escaliers et devant chaque côté de la mairie, une haie de soldats était  en garde-vous. En présence du maire et de ses adjoints, ainsi que  les membres du conseil communal. »

    Jean-Paul s’était engagé dans la résistance, blessé, il passe 11 jours à l’hôpital et une année de captivité à la prison de Metz.

    « A l’église, ma mère m’avait dit surtout ne te laisse pas enfoncer l’alliance totalement, c’est ton époux  de la mettre. Ce qui voulait dire que nous étions unis pour le bon, pour le pire, en tout et pour tout, jusqu’à la mort. Mon mari est retourné à l’armée avec les Allemands, je ne l’ai jamais revu, jusqu’au jour on l’a fait prisonnier à Metz. »  a-t-elle ajouté, Mme Lucienne.

    Paul est né le 10 septembre 1918 à Saulnes et Lucienne, nom de jeune fille Bert est née le 9 mai 1920 à Haucourt Moulaine.

    Paul s’était évadé de la Prison de Metz en profitant  des soldats de garde qui étaient à l’abri des torrents de pluie. Il a marché durant 8 jours à travers champs, en contournant les lieux où il y a la présence de soldats allemands.

    « Dans le train à bestiaux, il a atterri chez ma sœur qui était infirmière  à Paris. Je l’ai rejoint. » a-t-elle continué, Lucienne.

    Depuis, ils ne se sont point quitté. Paul a travaillé en qualité de mécanicien de train de trame de vélo et de motos, puis à l’usine de Herserange comme chauffeur de direction, durant 32 ans.

    Le couple a eu 3 garçons : Jean-Paul, Christian et Roger. Ainsi que 5 petits-enfants, 5 filles et 1 garçon.

     

     

     






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